Tu as raison, je devrai plus mettre "les médecins devraient réagir de la même façon qu'avec une personne ayant une orientation autre qu'hétérosexuel". j'ai utilisé l'exemple des homo car ce sont les plus connu qui ont été jugé malade pendant longtemps et qu'on a essayé de soigner avant de comprendre qu'ils n'avaient aucune anomalie. comme c'est exactement notre cas... mais c'est aussi surement le cas de bien d'autre orientations. En theorie, en effet, peut importe le patient qu'il reçois c'est comme ça qu'il devrait fonctionner : voir si la personne n'est pas malade et si ce n'est pas le cas, lui donner des clés pour accepter sa différence.Mr.Nya a écrit :Voilà le seul point qui me chiffonne :
"les médecins devraient réagir de la même façon qu'avec un homosexuel"
Avec tout le monde non ? Histoire de ne pas induire un biais comme quoi il y a une norme hétérosexuelle et des anormaux. Tu développes ensuite le fond de manière juste d'ailleurs, en précisant le rôle du médecin. Rôle qui s'applique quelque soit la sexualité, l'origine,... Je trouve que le mettre (et le répéter plus tard) reste stigmatisant => je mettrai "les médecins devraient réagir de la même manière peu importe la sexualité qu'ils ont" ou même, pour ensuite simplifier ton développement, "les médecins devraient réagir de la même manière quelque soit le patient qu'il reçoit."
Enfin, je comprends quand même pourquoi tu spécifies.
Sinon, j'aime les phrases bien écrites, les mots bien écrits,... mais je n'oublie pas qu'il y a des personnes qui ne peuvent pas faire grand chose face à ce qui est un handicap. Ce serait comme demander à un bègue de s'exprimer plus clairement.
Le texte est long, c'est sûrement un premier jet, et vu qu'il est censé être sujet à relecture.s et modification.s je ne vois pas vraiment la nécessité d'en critiquer la forme. On le fera à la fin, et comme l'a souligné Chô Yume, l'étudiante adaptera sûrement elle aussi pour rendre le vocabulaire plus propre au monde médical et son langage. En espérant qu'elle nous offre la dernière mouture en lecture
Je n'ai pas lu la polémique plus loin, trop de couleurs pour mes yeux habitués au noir.
Si tu comprend ce que j'ai voulu dire, je vois pas pourquoi tu pense que la personne a qui je m'adresse serait moins en capacité de comprendre que toi et serais donc plus confuse.Natsu a écrit :Ce n'est pas pour moi que je souligne cette confusion des mots, mais pour la personne à qui tu t'adresses dans ton message.Zimou a écrit :c'est pour ça qu'il est important de distinguer l'absence d'attirance sexuel maladive de l'orientation. Mais bon, en lisant la FAQ d'AVEN, c'est quelque chose dont tu aurai du te rendre compte rapidement,
Dans la réalité, il y a une différence entre absence d'attirance sexuel pour cause de maladie et absence d'attirance sexuel sans cause. Il y a donc bien différente absence d'attirance sexuelle. Et si ce n'est pas causé par une maladie ou une anomalie, alors on peut en déduire que c'est une orientation. exactement comme l'homosexualité (on peut pas dire avec certitude que c'est une orientation, tant qu'on s'est pas assuré que c'est pas causé par une maladie, mais la communauté scientifique s'en est assuré concernant l'homosexualité, et quelques études ont déjà commencé à voir le jour concernant l'asexualité qui vont dans ce même sens https://fr.wikipedia.org/wiki/Asexualit ... Recherches )Natsu a écrit :Et puis, le fait de considérer l'asexualité comme une orientation sexuelle est loin de faire l'unanimité, y compris chez les asexuels. D'une part, il y a contradiction de termes : "asexualité" et "orientation sexuelle" . D'autre part, la différence que tu fais entre les "vrais asexuels" et les "faux asexuels", est subjective et impossible à déceler de l'extérieur. Même la souffrance n'est pas un critère recevable, puisqu'un "vrai asexuel" peut souffrir de maintes façons, et un "faux asexuel" ne pas souffrir ! La distinction n'est valable que pour toi et la FAQ. Dans la réalité, rien ne distingue "absence d'attirance sexuelle" et "absence d'attirance sexuelle". Et la destinatrice de ton message, n'ayant très probablement pas lu la FAQ, ne l'a sans doute pas deviné dans ton texte.
ça c'est l'une de tes croyances, ta simple opinion rien de plus, pas un fait. c'est certes dans des proportion bien moindre uniquement grâce à notre invisibilité, mais comparable à ce qu'était l'homosexualité il y a quelques dizaines d'années malheureusement pas invisible pour eux (traité de monstre, diagnostiqué malade, etc...). Tu l'a simplement jamais constaté, ça ne veut pas dire que ça n'existe pas.Natsu a écrit : Pas besoin de faire médecine pour savoir cela. Cela fait belle lurette que l'ensemble du corps médical laisse les homosexuels tranquilles. Il me semble aussi évident, d'un point de vue d'un patient, que lorsque l'on souffre psychologiquement pour x ou y raison, c'est vers un psy que l'on va se tourner.
Les comparaisons sont inutiles et inappropriées puisque l'asexualite n'est pas comparable à l'homosexualité, d'un point de vue de "l'orientation sexuelle", du comportement sexuel (ou absence de comportement sexuel), des éventuelles souffrances, des difficultés sociales, de la discrimination (ou absence de discrimination), etc.
2 choses : d'une part, un médecin peut etre asexuel et venir s'informer à la base pour lui mais aussi trouver des éléments de réponse pour ses patient. D'autre part, je me fiche de savoir si des médecins viendront ou pas. le fait est que si ils viennent, ils auront une informations et ne resterons pas qu'avec de simple témoignages ou des jeux qu'ils ne liront de toute façon pas ou peu. c'est mieux d'avoir une information disponible même si personne ne la recherche qu'avoir une information disponible qui peut être recherché (et on peut constater avec ce mail que des étudiant s'informe. et pas que ce mail car on a déjà eu diverse demande de divers étudiants).Natsu a écrit : Tu penses vraiment qu'il y aura des médecins à venir perdre leur temps sur ce forum ? Tu es très optimiste.
Il y a quelques temps, je m'étais amusée à lire les posts sur un forum de médecins, il était presque encore plus mort que celui-ci (bien que mieux écrit et plus drôle). Je ne connais aucun médecin ayant du temps à perdre sur des forums, surtout sur ceux n'ayant aucun intérêt médical.
t'as du mal à comprendre la notion de rectification possible. c'est pas un devoir à rendre et une fois rendu on a une note définitive. on est encore libre de faire ce qu'on veut et de corriger ce qu'on dit si on le souhaite, surtout dans le monde scientifique, c'est un peu la base de la science. Donc non, c'est pas trop tard (enfin à discuter pour rien dire comme ça, elle va avoir rédigé et rendu son travail et elle ne pourra plus apporter de modifications)Natsu a écrit :Donc, c'est trop tard. Et c'est malhonnête de lui avoir répondu tout seul de ton côté alors qu'elle souhaitait connaître "les revendications de la communauté asexuelle". Je me répète vu que je n'ai pas eu l'impression que mon message soit passé.
vu que c'est pas trop tard, c'est un faux problème. tu t'es mise en tête que du fait que la réponse avait déjà été envoyé, alors c'était trop tard et tu veux visiblement pas admettre que ça l'est pas, son travail n'est probablement pas terminé d’être rédigé et pas encore rendu.Natsu a écrit : C'est trop tard puisque tu as déjà envoyé ta réponse à cette étudiante. La suggestion de déléguer cette tâche (c'est-à-dire la tâche de communiquer avec le monde extérieur sur l'asexualité) à quelqu'un sachant écrire s'appliquait au cas où tu n'aurais pas encore envoyé ta réponse, et à de futures requêtes d'informations par des professionnels. Sinon, un texte collectif se construit en amont, ce qui permet à d'autres de contribuer.
Maintenant, si selon toi aucun médecin ne viendra ici et que c'est trop tard pour corriger, ton seul internet à participer à ce sujet est de râler, dire que ça te plait pas et non aider à corriger/améliorer le discourt. ça avance à rien. donc si tu reste dans cet croyance, ta participation ici est inutile, je t'invite à participer aux autre sujets qui te semblerons plus utile.